Prévenir plutôt que guérir

Eric DUMONT

Lorsqu’une maladie est installée, que des colonies de pucerons se sont multipliées massivement, qu’un arbre a perdu ses feuilles pour avoir laissé dessécher la terre dont il est sensé s’abreuvé.

Il est bien trop tard. Au mieux, c’est bien une année de végétation perdue et un affaiblissement généralisé qui pourrait bien s’avérer funeste.

Les arbres ont plus que jamais besoin de notre attention surtout si le choix de plantation qui a été fait au départ ne leur était pas le plus favorable.

Les moyens utilisés il y a peu encore et qui consistaient à éteindre l’incendie avec des produits violents ne sont plus de mise et c’est une bonne chose. Cela s’est finalement avéré un très mauvais choix sur le long terme pour avoir participé grandement à l’éradication des insectes auxiliaires.